Par Justine Bousquet, janvier 2023.
“Le changement climatique d’origine humaine affecte déjà de nombreux extrêmes météorologiques et climatiques dans toutes les régions du monde. Les preuves des changements observés dans les extrêmes tels que les vagues de chaleur, les précipitations extrêmes, les sécheresses et les cyclones tropicaux, et notamment de leur attribution à l’influence humaine, se sont accumulées depuis la sortie du cinquième rapport du GIEC, en 2014” (Sixième rapport du GIEC, 2021).
Pour la France, ainsi que pour d’autres régions du monde, l’année 2022 a été vécue comme un avant-goût des futures conditions météorologiques et climatiques auxquelles les populations vont devoir s’adapter. D’après Météo France (2022), la sécheresse de cette année, qui a débuté en mars au sens climatologique, est la 3e sécheresse la plus longue avec une durée de 8 mois (derrière celle de 1989/1990 qui avait duré 17 mois et de 2005, longue de 9 mois) sur trois quarts sur territoire français.
Aujourd’hui nous le savons, les activités humaines contribuent largement à l’accroissement de l’intensité et de la fréquence des catastrophes naturelles. Parmi ces activités qui ont accéléré et modifié l’évolution naturelle du climat figure l’agriculture. Depuis plusieurs années, ce secteur industrialisé s’auto-détruit en provoquant des effets néfastes sur l’environnement.
Alors que cette activité est vitale, puisqu’elle couvre les besoins primaires des hommes, l’arrivée de l’industrialisation et de la mécanisation des systèmes agricoles est venue bouleverser la qualité, mais aussi la quantité des productions. Dans les espaces ruraux, les grandes parcelles de monoculture, généralement géré par un seul agriculteur, sont devenues caractéristiques des campagnes françaises. Or, depuis plusieurs années, des scientifiques, des associations, mais surtout des agriculteurs alertent les pouvoirs publics sur les limites que rencontrent aujourd’hui ce système agricole, ainsi que sur les effets négatifs qu’il provoque sur l’environnement. Et pour cause, d’après la FAO, la culture et l’élevage sont les causes principales de la pollution de l’eau par les nitrates, les phosphates et les pesticides. Ils constituent aussi les principales sources anthropiques des gaz à effet de serre – le méthane et l’oxyde nitreux – et contribuent massivement à d’autres types de pollution de l’air et de l’eau.
L’objectif de cet article est de présenter la vulnérabilité du secteur de l’agriculture face au dérèglement climatique, et plus particulièrement face à la raréfaction des ressources en eau. Enfin, cet article présentera quelques projets que mettent en place les acteurs de l’agriculture pour permettre la transition agricole sur les territoires français.
Une agriculture devenue vulnérable :
D’après l’Agence De l’Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie (2023), les principaux impacts du dérèglement climatique sur l’agriculture sont l’avancement des calendriers culturaux, le changement du régime des précipitations et de la disponibilité de la ressource en eau et l’augmentation des événements extrêmes menaçant les cultures.
En France, en raison du dérèglement climatique, le printemps devient plus précoce et l’automne plus tardif. Avec des températures plus chaudes qui s’étendent sur une plus longue durée, les agriculteurs n’ont d’autres choix que d’avancer leur calendrier cultural. Cette adaptation aux changements de saison se traduit par une augmentation des besoins en eau, et donc par un usage plus important de la ressource en eau afin d’éviter des pertes agricoles, et donc économiques.
Mais ces essais d’adaptation rencontrent une problématique majeure : celle de la raréfaction de l’eau et des phénomènes de sécheresse, qui font partie des principales conséquences du dérèglement climatique. En effet, la disponibilité en eau douce commence à se limiter puisque le déroulement du grand cycle hydrologique est depuis plusieurs années perturbé par des actions néfastes de l’homme telles que la déforestation des bassins versants, l’extension des cultures irriguées provoquant l’assèchement des lacs ou des rivières, l’imperméabilisation des sols urbains, etc…
Lors des précipitations, une partie de l’eau ruisselle et une partie s’infiltre dans la terre, favorisant la recharge des nappes phréatiques et l’évapotranspiration par la végétation, les sols et les eaux de surface. Cette évapotranspiration permet de restituer l’eau à l’atmosphère, entraînant la formation de nuages et le déclenchement de nouvelles précipitations. Or, le dérèglement climatique vient complètement perturbé ce cycle naturel dont les effets varient d’une région à une autre.
2022 : une année marquée par des épisodes exceptionnels
Le bilan climatique de l’année 2022 de Météo France (2022) indique que les phénomènes météorologiques enregistrés et vécus durant cette année là deviendront « normaux », « ordinaires » au milieu de 21e siècle. Mais quels sont ces épisodes qui ont marqués les territoires français ?
Le graphique ci-dessus illustre les différents épisodes, qualifiés aujourd’hui d’exceptionnels, recensés à partir de janvier 2022, jusqu’au début du mois de novembre de la même année. Ce dernier permet de constater que, globalement, 2022 a été marquée par des températures moyennes bien plus chaudes que les températures moyennes enregistrées entre 1991 et 2020. En effet, tous les mois de l’année ont été plus chauds que la « normale », à l’exception des mois de janvier et d’avril.
Dès le début de l’année, les territoires français ont connu une alternance entre vague et pic de douceur, et les épisodes de froid et de gel tardif. D’un point de vue agricole, ces épisodes de douceur ont des conséquences directs sur l’apparition précoce des bourgeons. Le problème est que, si un gel tardif survint quelques jours après ces épisodes de douceur, les bourgeons deviennent vite menacés par ces changements de température, ce qui engendre de nombreuses pertes agricoles pour les producteurs.
Les différents territoires français ont tous connu une diminution significative de leur pluviométrie. En effet, trois quarts du territoire ont été affectés par les phénomènes de sécheresse. Par exemple, la station météorologique de Toulouse a constaté une diminution de 57% des précipitations par rapport à la moyenne de 1991-2020. Ces déficits de précipitations ont engendrés de nombreuses sécheresses et canicules durant toute la période estivale, entrainant à leur tour un stress hydrique important.
Les conséquences de ces déficits pluviométriques touchent également le niveau des nappes phréatiques, qui ont drastiquement baissé partout en France Métropole, durant toute l’année 2022. L’assèchement des cours d’eau a pu aussi être observé sur les territoires français, notamment les Gorges du Verdon dans le Var.
Or, certaines régions comme la Corse dépendent des cours d’eau et des rivières pour s’approvisionner en eau. Un déficit hydrique de ces cours d’eau peut engendrer de nombreuses pertes agricoles qui, à leur tour, pèsent grandement sur les rendements et l’avenir des agriculteurs, mais aussi sur l’alimentation des hommes et des animaux.
De plus, la disponibilité des ressources en eau douce diminuant sur les territoires français, les pouvoirs publics sont forcés d’avoir recours aux arrêtés préfectoraux pour limiter les usages, notamment agricoles.
Par conséquent, l’agriculture et les producteurs figurent comme les premières victimes des épisodes météorologiques extrêmes. Aujourd’hui, l’adaptation de ce secteur aux conditions climatiques et météorologiques, actuelles et futures, est devenu un enjeu majeur pour les pouvoirs publics qui doivent assurer une alimentation de qualité, et en quantité suffisante, pour leur population.
Comment adapter l’agriculture au risque de sécheresse ?
Avec le réchauffement climatique, l’un des enjeux principaux des pouvoirs publics devient celui de la sécurisation de l’agriculture et de l’alimentation. Et pour cause, dès son 5e rapport (2014), le GIEC avait classé « la perte de revenus ruraux à la suite d’un accès insuffisant à l’eau et de la diminution de la productivité agricole », et « la rupture des systèmes alimentaires à la suite de la variabilité des pluies et aux sécheresses » parmi les huit risques majeurs pesant sur le futur de l’humanité.
S’orienter vers des variétés et des espèces plus résistantes au stress hydrique
Si certains variétés végétales sont très gourmandes en eau, et donc vulnérables face au manque d’eau, il existe néanmoins des variétés qui nécessitent une quantité moindre de ressource en eau permettant ainsi des économies considérables. Pour Delphine Luquet, écophysiologiste des plantes au Cirad, une des premières solutions est alors de sélectionner des variétés à même d’éviter ou de tolérer un stress hydrique pour maintenir les rendements agricoles : « l’amélioration variétale consiste à s’appuyer sur toute la richesse de la diversité cultivée connue afin de développer des nouvelles variétés qui combinent les caractères d’intérêt pour un contexte agro-climatique et sociétal donné ».
En cas de sécheresse, il est possible de combiner dans une même variété :
- un système racinaire profond permettant d’accéder plus efficacement à la ressource en eau ;
- une capacité des feuilles de photosynthétiser tout en économisant de l’eau en limitant leur transpiration ;
- et si possible un cycle de culture plus court, ou plus précoce, permettant d’éviter autant que possible les périodes les plus à risque de sécheresse.
Le développement de variétés moins sensibles au stress hydrique est particulièrement crucial pour les cultures pérennes, dont les plantations durent plusieurs dizaines d’années et se doivent d’être adaptées aux climats futurs.
Il en est de même pour les espèces dont leur sélection devient un enjeu majeur pour l’adaptation de l’agriculture à la sécheresse. En France, par exemple, de plus en plus d’agriculteurs et de sélectionneurs se tournent vers le sorgho comme substitut au maïs, voire à d’autres cultures céréalières. Originaire d’Afrique, le sorgho tolère mieux la chaleur et les épisodes de sècheresse grâce à son système racinaire profond, sa capacité à garder ses feuilles vertes pour la photosynthèse durant tout son cycle et la résistance de son appareil reproducteur aux fortes températures.
Pratiquer des systèmes de cultures et d’élevage agroécologiques plus économes en eau
Exemple de l’agroforesterie :
L’agroforesterie désigne les pratiques associant sur une même parcelle agricole des arbres en bordure ou en plein champ avec des cultures et/ou de l’élevage. Il peut aussi bien s’agir de pratiques agricoles dans la forêt ou dans des plantations forestières, que d’arbres entretenus dans les champs, dans les pâturages ou encore juxtaposés à l’espace agricole tels que les haies.
L’implantation d’arbres dans les champs est une pratique très intéressante et avantageuse puisqu’elle offrent de nombreux services écosystémiques. En effet, les cultures au pied des arbres requièrent moins d’apport en eau grâce à l’ombrage et bénéficient de cet engrais naturel que constituent les feuilles tombées au sol. Certaines essences sont prisées pour leur vertu en matière de fertilisation, comme l’acabia albida au Sahel, qui fixe l’azote et qui offre un engrais vert. Dans un paysage agroforestier bien entretenu, des arbres d’âge différent cohabitent, lissant les effets de l’ombre des grands arbres sur les cultures en sous-étages, tels que le blé ou le maïs, plantées entre les lignes d’arbres.
Les résultats de l’agroforesterie sont probants dans les zones arides. Certaines ressources de l’agroforesterie présentent des options particulièrement prometteuses, telles que le Gliricidia sepium. C’est une légumineuse qui pousse hâtivement et se multiplie sans difficulté par bouturage ou par semis des graines. Cet arbre sert à faire des haies d’alignement. Il donne également de l’ombre dans les plantations de cacaoyer et de caféier au Mexique (il est appelé pour cette raison madre de cacao, « mère du cacao »). Il est aussi utilisé dans les plantations de thé du Sri Lanka, de poivre noir de grenadilles, de vanillier. Planté dans le champs ou en bordure de parcelles, il est une « usine à engrais ». Comme toutes les légumineuses, il enrichit le sol en azote. Ses profondes racines permettent de retenir l’eau et de faire émerger les nutriments dont les plantes ont besoin, tandis que ses feuilles tombées sur le sol fournissent aussi un bon engrais vert. Le Gliricidia a en outre la vertu de stabiliser les sols et d’éloigner certains insectes ravageurs.
L’agroforesterie est alors une solution d’adaptation agricole dont les pratiques sont régénératrices des sols, économes en énergie, intrants et eau, qui protègent la biodiversité et diversifient les productions et revenus des agriculteurs.
Exemple du pastoralisme :
Le pastoralisme est un écosystème. Il est fondé sur l’exploitation de pâturages naturels par les herbivores (camelins, bovins, ovins, caprins). Il valorise des ressources renouvelables de faible potentialité sur de grands parcours (nomadisme ou transhumance), associant la gestion du bétail, la gestion des pâturages, des parcours de transhumance et des points d’eau. Il est un mode de production spécialisé et performant. Il apparaît aujourd’hui à certains peuples autochtones comme un élément fondateur de leur culture, voire comme un mode de vie viable leur assurant stabilité et autonomie.
Le pastoralisme est très présent dans les zones arides et semi-arides, dans des écosystèmes en déséquilibre, la distribution des pluies dans le temps et l’espace variant fortement, et le couvert végétal évoluant au gré des précipitations.
Par leurs parcours de nomadisation stables et réguliers, les éleveurs découpent l’espace en pâtures saisonnières, en fonction des besoins du bétail et relativement à une saison donnée. La transhumance est adaptée aux ressources naturelles aléatoires et fragiles. De ce fait, l’élevage mobile est plus productif que l’élevage sédentaire.
Les systèmes pastoraux optimisent leur performance et leur résilience : des ressources clés telles que les nutriments et l’eau ne deviennent disponibles que dans des concentrations éphémères et imprévisibles, comme certaines herbacées des zones septentrionales, qui ne sont exploitables que grâce à la mobilité.
Enfin, la présence de troupeaux d’une certaine densité dans les milieux agricoles, forestiers et/ou montagnards peut présenter un grand intérêt pour l’entretien des bassins versants, des clairières, des corridors écologiques, des milieux ouverts, ou encore pour la lutte contre les incendies en période sèche. Tant qu’ils ne surexploitent pas les ressources naturelles, les animaux gardés par les bergers jouent un rôle dans l’entretien de milieux ouverts. Ils transportent également de nombreux organismes et peuvent alors enrichir le sol de leurs excréments, ou nourrir des animaux nécrophages quand ils meurent.
De ce fait, de nombreux experts constatent que les éleveurs nomades, du fait de leur mobilité, sont les plus à même de s’adapter à leur environnement. Ils utilisent le paysage de la manière la plus durable qu’il soit.
La mise en place de politiques et de projets agricoles territorialisées
La transformation des systèmes agricoles et alimentaires face aux changements climatiques requiert aussi une mobilisation politique de grande ampleur, afin de développer des politiques d’adaptation ambitieuses et efficientes et d’accompagner les agriculteurs.
Comme l’illustre la carte ci-dessus, outre les surfaces boisées qui ne sont pas présentées ici, le département de la Gironde est caractérisé par de nombreux paysages agricoles (comme de nombreux autres départements), et surtout par les vignobles qui figurent comme le patrimoine du territoire. Une transition agricole sur ces territoires doit alors recourir à une analyse fine de ces derniers, mais demande surtout un véritable accompagnement de la part des scientifiques, des pouvoirs publics et des acteurs de l’agriculture.
D’après Marie Hrabanski, chercheuse en sociologie politique au Cirad, « il s’agit d’abord de financer de façon massive des politiques et des instruments d’adaptation de l’agriculture au changement climatique ». A partir de plusieurs projets de recherche menés au Nord et au Sud, les scientifiques du Cirad identifient cinq stratégies politiques d’adaptation de l’agriculture :
- Financer le fonctionnement des structures publiques et parapubliques impliquées dans le développement de ces projets de transition ;
- Impliquer entièrement le secteur bancaire pour qu’il joue pleinement son rôle afin de ne financer que des projets adaptés ;
- Réhabiliter la planification et se servir de cet outil pour identifier, à l’échelle des différents territoires, des objectifs agricoles et de souveraineté alimentaire adaptés, ainsi que les orientations qui permettront d’y parvenir ;
- Accompagner les agriculteurs en associant différents types d’initiatives et en développant à la fois des instruments contraignants (interdiction d’irriguer certaines plantes…), des instruments incitatifs (aides massives pour accompagner les agriculteurs vers des cultures adaptées…) et des instruments communicationnels (informations climatiques, mutualisation des bonnes pratiques…) ;
- Développer la participation citoyenne, les acteurs des territoires étant les mieux à même d’exprimer la complexité des enjeux, les attentes et les contraintes.
Une réelle volonté politique est alors nécessaire à l’essor des transitions agricoles sur les territoires français. Cette prise de conscience des enjeux de l’agriculture s’observe de plus en plus dans les différentes régions françaises, notamment par la mise en place de projets, tels que les « Projets alimentaires territoriaux » (PAT), les « Projets agro-environnementaux et climatiques » (PAEC), ou encore les « Groupements d’intérêt Ecologique et Economiques » (GIEE).
Les PAT ont pour objectif de relocaliser l’agriculture et l’alimentation dans les territoires en soutenant l’installation d’agriculteurs, les circuits courts ou les produits locaux dans les cantines. Issus de la Loi d’avenir pour l’agriculture qui encourage leur développement depuis 2014, ils sont élaborés de manière collective à l’initiative des acteurs d’un territoire (collectivités, entreprises agricoles et agroalimentaires, artisans, citoyens etc.).
Concernant maintenant les PAEC, ils s’appuient sur des contrats (les « Mesures agro-environnementales et climatiques ») proposés aux agriculteurs qui doivent venir appuyer les pratiques visant à maintenir ou préserver les espaces en déprise ou sensibles d’un point de vue environnemental. Ces projets sont portés par un organisme disposant de « compétences environnementales ou agronomiques » (MAAF) et définis en collaboration avec les Régions, les services déconcentrés de l’Etat et les acteurs du territoire. Ils se fondent sur un diagnostic de territoire permettant d’identifier les principaux enjeux locaux, notamment en matière de préservation de la biodiversité et de la qualité de l’eau, de définir un périmètre d’action et de spécifier les MAEC proposées.
Quant aux GIEE, ces projets se focalisent davantage sur les enjeux des agriculteurs et sont bien moins désectorisés que les PAEC. Fondés sur des groupes d’agriculteurs plus ou moins proches géographiquement et fédérés autour d’un projet commun, ils cherchent, en labelisant puis en subventionnant, à impulser un mouvement de transition chez les acteurs « classiques » de l’agriculture. Les agriculteurs sont alors accompagnés par des structures spécialisées dans le champs de l’agriculture, telles que les Centres d’Initiatives pour Valoriser l’Agriculture et Milieu Rural, devant aider à la mise en œuvre du projet et à la capitalisation des résultats.
Par conséquent, il existe de nombreuses initiatives qui font appel à un grand panel d’acteurs, ainsi qu’avec des objectifs différant d’un territoire à un autre. De ce fait, la réussite d’une transition agricole sur un territoire donnée, nécessite une mobilisation et une motivation importante de la part de ces acteurs, afin que chacun puisse être gagnants grâce aux résultats attendus.
Bibliographie
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JACQUEMOT, Pierre. Le dictionnaire encyclopédique du développement durable. Nouvelle éd. revue et Enrichie. Auxerre : Sciences humaines éditions, 2017. La petite bibliothèque de sciences humaines. ISBN 978-2-36106-439-6. 338.927 03
MASSON-DELMOTTE, Valérie, ZHAI, Panmao et PIRANI, Anna. Changement climatique 2021: les bases scientifiques physiques : résumé à l’intention des décideurs : contribution du groupe de travail I au sixième Rapport d’évaluation du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat. Genève, Suisse : GIEC, 2021. ISBN 978-92-9169-258-3
METEO FRANCE. Bilan climatique de l’année 2022. Paris, 30 novembre 2022.
Sitographie
CIRAD : Face à la sécheresse, quel avenir pour l’agriculture et l’élevage ? :
FAO : Perspectives pour l’environnement – l’agriculture et l’environnement :